Il observe le monde avec une intensité nue, brute, presque primaire.
Il ressent chaque regard qui change, chaque battement de cils, chaque hésitation.
Et il s’oublie.
Ce n’est ni une technique, ni une pose, ni une tendance.
C’est plutôt un rire, un silence, un fragment de vie dans le regard.
Ça ne se force pas, mais ça se prépare :